• « Esteban était malheureux dans sa classe de CP. A cause de Tom Lavadan.

     

    - Il veut toujours jouer avec moi, mais après, il me tape.

     

    Mal au ventre au moment de partir à l'école

     

     

    En discutant avec son frère, Charlie avait fini par conclure qu'il était victime d'une sorte de harcèlement. Tom exigeait qu'Esteban reste avec lui en classe, à la récré, à la cantine, et tout le monde les croyait copains. Mais Tom était imprévisible. Tantôt il s'amusait à soulever Esteban de terre pour lui montrer qu'il était fort, tantôt il le poussait dans le dos ou le cognait contre un mur. Esteban, tétanisé, vivait dans l'attente de ce qui allait lui arriver. Il avait mal au ventre chaque matin au moment de partir à l'école. » (p.10)

     

     

     

    (Papa et maman sont dans un bateau de Marie-Aude Murail)

     

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  • planche extraite du Nouveau Larousse Universel en 2 volumes (1948)

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    « Tu fais semblant de ne rien voir ?

     

     

    Tu sais, il n'y a rien de plus lâche. Fermer les yeux alors que tu es au courant c'est comme si tu le persécutais avec tous les autres. » (p.82-83)

     

     

     

    (Une sacrée Mamie T.5 de Yoshichi SHIMADA et Saburo ISHIKAWA)

     

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  • planche extraite du Nouveau Larousse Universel en 2 volumes (1948)

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    "Tout ce qu'on nous dit sur l'éthique de la profession, que ce soit pendant nos études ou dans les déclarations officielles, c'est du vent. Sauf votre respect, ce n'est pas parce qu'on a des diplômes qu'on est intègre.

    L'éthique de la profession

     

    (...) Parfois je me dis que ça doit être reposant de dire la vérité, de ne plus mentir. C'est tellement fatigant de mentir, de faire attention à ne pas se trahir, de fabriquer des mirages, de maquiller la vérité... Mais c'est ça ou tourner le dos aux années de compromissions et de traficotages que je viens de vivre."

     

    (Camisoles de Martin Winckler p.24)

     

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  • planche extraite de l'Encyclopédie internationale Focus en 5 volumes (Bordas - 1968)

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  • « Avec ces Petites histoires de quartiers, j'ai eu envie de mettre en lumière des inégalités du quotidien, celles que l'on croise ou que l'on subit, qui n'ont souvent l'air de rien mais qui font mouche et mal.

     

    Inégalités parce que l'on est d'un sexe plutôt que de l'autre, qu'on est plus ou moins clair de peau, plus ou moins riche, plus ou moins français, qu'on est plus ou moins dans la « normalité ».

    Les inégalités du quotidien

     

    (…) Je crois profondément que chacun de nos gestes, chacune de nos actions peuvent faire tourner la terre autrement : nous construisons l'humanité ; c'est à nous de tracer le chemin sur lequel nous avons envie d'avancer. » (Préface p.8)

     

     

     

    (Petites histoires de quartiers de Julia Billet)

     

     

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  • planche extraite du Nouveau Larousse Universel en 2 volumes (1948)

    planche extraite du Nouveau Petit Larousse illustré (1938)

     

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  • « Dans les années quarante, les femmes quittèrent l'univers domestique pour combler le vide laissé par les hommes (désormais mobilisés) dans les usines de munitions ou pour aller s'asseoir dans les cabanes solitaires des postes d'aiguillage, le long des voies ferrées. Pour la première fois, des femmes mariées travaillaient hors de chez elles ; ce n'étaient plus seulement les jeunes filles ou les vieilles filles ou les femmes pauvres. Les effectifs de la main-d’œuvre féminine augmentèrent de 57 pour 100.

     

    Le travail des femmes

    Néanmoins, il n'y avait toujours pas de femmes médecins. Pas de femmes prenant des décisions au plus haut niveau. Pas de salaires égaux. Et, quand les hommes revinrent de la guerre, ce fut le retour au foyer, où l'on vous encouragea à trouver de nouvelles recettes pour les dîners de famille, à contrôler les devoirs des enfants que l'on vous priait de mettre au monde – des enfants qui avaient besoin d'être attendus par leur mère quand ils rentraient à la maison après l'école, tout comme les maris s'attendaient à trouver leurs femmes à la porte, leur tendant un Martini pour les requinquer, tandis que l'odeur du dîner en train de mijoter emplissait la maison. » (p.153-154)

     

     

     

    (Le jour du patchwork de Whitney OTTO)

     

     

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  • planche extraite du Nouveau Petit Larousse illustré (1938)

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