• LES 20 CRITERES DE DISCRIMINATION PROHIBES 
     
    Références législatives Loi n°2014-173 du 21 février 2014 - art. 15 Loi  n° 2008-496 du 27 mai 2008 portant diverses dispositions d'adaptation au droit communautaire dans le domaine de la lutte contre les discriminations  Article L. 1132-1 du Code du travail  Article 225-1 du Code Pénal
     
    1. l’origine fp

    2. le sexe * fp

    3. les mœurs 

    4. l’orientation sexuelle fp

    5. l’identité sexuelle fp

    6. l’âge* fp

    7. la situation de famille 

    8. l’état de grossesse et de maternité fp

    9. les caractéristiques génétiques 

    10.  l’appartenance ou non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie fp

    11.  l’appartenance ou non appartenance, vraie ou supposée,  à une nation * 

    12.  l’appartenance ou non appartenance, vraie ou supposée, à une race fp

    13.  les opinions politiques fp

    14.  les activités ou opinions syndicales fp et/ou mutualistes (code du travail)

    15. les convictions religieuses fp

    16.  l’apparence physique * fp

    17.  le patronyme (nom de famille) fp

    18.  le lieu de résidence fp

    19.  l’état de santé * fp

    20.  le handicap * fp
     
     
     
    * Critères sur la base desquels la loi autorise des dérogations
     
    fp  Critères prohibés dans la fonction publique par la loi du 13 juillet 1983 Le Pors 
     
     

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  • "Elle était vraiment différente.
    Et quitte à être exclue...
    ...Elle l'était avec panache."

    Une présence

    "Tu te rends compte que tu es en train de dire...devant mon groupe, que si on ne perce pas...
    C'est parce que je suis grosse ? "
    "C'est n'importe quoi ! Qu'ils aillent se faire foutre !
    Cass est parfaite comme elle est !
    Exactement !
    Et puis c'est la meilleure chanteuse !
    On s'en fout, on n'a pas besoin qu'elle soit belle !"  

    "Il y a un truc très déstabilisant chez cette gosse.
    Elle a cette espèce d'immense corps encombrant dont elle ne sait pas quoi faire.
    Et puis...
    Tout à coup
    il n'y a plus de corps,
    il n'y a que cette présence.
    Et puis cette voix.
    Cette voix !"

     

    (California dreamin' de Pénélope Bagieu)

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  • Art gothique

    planches extraites du Nouveau Larousse Universel en 2 volumes (1948)

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  • "Moi, j'avais décidé d'assumer. J'avais barré « profession du père » pour y écrire « profession de la deuxième mère ». Ça m'avait paru logique. Simple. Je m'étais blindé dans ma tronche depuis un bout de temps, et à part un petit incident [...], c'est passé comme une lettre à la poste. Ma « situation », la majorité des profs s'en foutait, et pour les autres, je dois avouer qu'il ne m'était pas désagréable de les mettre mal à l'aise."
    (p. 19)

    "J'ai pas fait de détails : le premier connard qui m'a dit "Hey, ta mère elle est gouine ! ", je l'ai chopé et je lui ai répondu "Des mères j'en ai deux, elles sont gouines et je t'emmerde"."

    "Quand on a une vie différente, on prend ces risques-là : rejets, ruptures, critiques. On peut regretter, se cacher dans un trou. Ou alors on décide d'être bien, on se bat et on mène la vie qu'on veut, la vie comme on l'aime."

    "- Et pour ceux qui ont entretenu les persécutions - je sais qu'il y en a -, j'ai une question à vous poser.
    Ils ont tous relevé la tête d'un air intrigué.
    - C'était bien ? Vous avez aimé ? C'est agréable d'avoir un bouc émissaire, hein. Une engueulade mal digérée ? Une mauvaise note ? Un bouton d'acné ? J'ai qu'à cracher sur ma voisine, ça ira mieux après ! Je me sentirai tellement bien ! Sans compter que ça crée des liens. Une bonne complicité de petits bourreaux bien entraînés."
    (p. 185)

    "- Tu n'as rien fait, Mathieu ? Mais c'est justement ça le problème ! Vous n'avez rien fait ! Quand des types plus violents que vous s'en prennent à l'une de vos camarades, vous ne faites rien ! Pire : vous riez ! Vous laissez faire ! C'est ça la lâcheté." (p. 185)

    (Frangine de Marion Brunet)

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  • Mers et océans

    Mers et océans

    planches extraites du Grand Memento encyclopédique Larousse en 2 volumes (1936)  

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  • La discrimination à travers le dictionnaire

    Petit Larousse illustré (1938)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Nouveau dictionnaire étymologique Larousse (1969)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Petit Robert (1992)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Dictionnaire des synonymes Maxi-Poche (1994)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Hachette encyclopédique (2001)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Harrap's compact (2003)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Petit Larousse illustré (2005)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Robert des collèges (2005)  

    La discrimination à travers le dictionnaire

    Nouveau petit Littré (2005)

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  • "Nous échangeons sur le handicap.
    Avec l'aisance qui la caractérise, Carole commence : "Pour nous, le handicap, c'est de ne pas avoir de papiers. On ne peut pas travailler et ça génère l'isolement, on n'arrive pas à obtenir un logement décent et ça nous oblige à rester en marge des autres..." (p.21-22)

    "Depuis l'annonce de la condamnation, des journalistes s'intéressent à leur situation. Carole ne veut pas leur parler. Selon elle, "pour vivre heureux, vivons cachés". Nelly, elle, refuse ce genre de sollicitation parce que, dit-elle : "Je parle pas bien."
    Elles avouent avoir peur que les journalistes ne puissent s'empêcher de les juger en voyant le délabrement des lieux." (p.22)

    Le minimum

    "Rien n'avance, personne ne va mieux. Au contraire, il me semble être le témoin impuissant de l'indifférence et du mépris. Je ne peux pas me substituer à la volonté des personnes, juste je vois et je m'interroge sur ma responsabilité.
    Je me demande si la Terre est pour tout le monde ? Pourquoi y a-t-il des personnes qui ne peuvent pas habiter quelque part ? Ce serait tellement plus confortable d'être dans l'ignorance." (p.36)

    "Nous sommes tous fatigués, notre patience est du coup altérée et nous faisons sûrement moins attention à la manière dont nous nous tenons.
    Je sens le poids du regard dont on parle tout le temps, il est sur moi aussi." (p.42)

    "Carole me fait part de sa honte de venir pas lavée, les cheveux sales. Elle me dit : "Vendredi non plus, il n'y avait pas d'eau. Je suis pas allée travailler. je me voyais pas me présenter au bureau dans cet état-là." (p.60)

    "Le fait d'être propre sur soi change beaucoup, déjà le regard porté sur soi-même et puis, pour être honnête, mon regard aussi a changé. Pourtant je connais très bien chacun de ces adultes, chacun de ces enfants, je sais que, propres ou pas, ce sont des personnes formidables. Le respect est le même, ça ne change rien à ce que je peux dire ou faire avec chacun. mais le regard change, je crois qu'il y a quelque chose de l'ordre de la reconnaissance, comme si on était un peu plus semblable, comme si on était de la même vie." (p.69)

    (Je ne suis pas un escargot ! de Marlène Jourdan)

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  • Escrime

    planche extraite du Nouveau Larousse Universel en 2 volumes (1948)  

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  • "Très vite, j’eus l’intuition qu’en fuyant le handicap, on s’isole. Il est là, il faut l’accueillir comme un cinquième membre, composer avec lui. Pour ce faire, la connaissance de ses faiblesses me semble primordiale..." (p.53)

    "Le centre regorgeait d'anomalies : moi, mâchouillant mes mots et titubant gaiement ; Philippe, qui, à dix-huit ans, mesurait moins d'un mètre ; Jérôme, qui ne pouvait pas marcher ni parler, et Adrien, qui souffrait d'un retard mental et prononçait des sons presque impossible à déchiffrer. Rien ne nous unissait, pourtant tout nous réunissait. Ensemble, nous pouvions mieux tolérer l'intolérable de notre situation."

    "On a de plus en plus tendance à exclure le différent, l'inutile, l'étranger, l'autre... Jérôme ne pouvait rien faire physiquement. Après avoir évalué ses possibilités, on le qualifiait volontiers de non rentable. Pourtant, il m'a appris, mieux que quiconque, le dur "métier d'homme".   

    éloge de la faiblesse

    "Tu reviens sans cesse sur la notion de "norme", de "normalité". Pourrais-tu me définir scrupuleusement ce que signifie "normal" ?

    Alexandre: scrupuleusement,. laisse moi essayer : "qui est conforme à la majorité ou à la moyenne des cas ou des usages: Ainsi, par exemple, il est normal pour un enfant de douze ans de marcher, parler, lire, écrire..... "

    "Les gens "normaux" projettent sur l'individu différent toute l'angoisse, la peur, le malaise qu'engendre la dissemblance."

    "La difficulté aguerrit, stimule, elle oblige à trouver des solutions."

    "On m'a expliqué, par exemple ,qu'il existe deux effets de la normalité. La normalité peut constituer une stimulation pour la personne qui s'en exclue. Elle suscite en elle le désir de devenir toujours meilleure ,de réduire de plus en plus l'écart qui la sépare des autres. La normalité peut aussi créer la marginalité, exclure...." (p.92)

     

    (Eloge de la faiblesse d'Alexandre Jollien)

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  • planche extraite du Grand Memento encyclopédique Larousse en 2 volumes (1936)

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